Après une transition économique globalement réussie qui leur ont valu des félicitations méritées, les pays de l’Europe centrale (que l’on peut regrouper sous l’acronyme du « Groupe de Visegrad » ont fait entendre leur différence.
Ceci est apparu en pleine lumière, quand s’est posée la question de la répartition des « migrants » dans l’Union Européenne leur faisant craindre que cette identité fraichement recouvrée puisse être noyée dans les flots en résultant, et a renforcé les tendances à un autoritarisme d’abord masqué, mais sous-jacent.